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l’ennéagramme

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Salut, je suis nouvelle


Christelle

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Bonjour à toutes et tous,

 

Je connais l'ennéagramme depuis peu grâce à mon mari qui lui est typé 6.

Je pense être de type 2.

Je ne sais pas si j'ai besoin de quelque chose en venant sur ce forum, mais j'ai envie de me connaître mieux. Alors pourquoi pas tenter l'expérience ?

 

Quelques situations qui me font dire que je suis 2 :

Je suis maman avant tout, le bonheur de mes enfants est ma priorité. Je passe mon temps à me demander si je fais tout ce qu'il faut pour qu'ils soient heureux. J'ai peur de les voir souffrir.

Mon père ne m'a jamais dit "je t'aime", et ma mère considère que je dois le savoir et que ce n'est pas la peine de me le dire. Pourtant, je passe mon temps à dire à mes enfants et à mon mari que je les aime. Je ne supporte pas l'idée de les laisser s'endormir sans le leur avoir dit au moins une fois (ça en devient même ridicule ; j'essaie de le leur "envoyer" en pensée quand ils ne sont pas avec moi…).

 

Elevée dans une famille où l'expression des sentiments a toujours été taboue (ma mère a à peine pleuré lors du décès de mon père, alors que moi j'étais effondrée et que j'avais honte de ne pas me maîtriser…), j'ai aujourd'hui besoin qu'on me montre qu'on m'aime. Rien que le fait de dire cela de ma mère me fait mal parce que j'ai l'impression de la dévaloriser… J'ai déjà envie de la défendre par rapport à ce que j'ai dit…

 

Je me sens parfois (à vrai dire souvent) hypocrite parce que je n'arrive pas à dire aux autres ce qui ne va pas, ce que je n'aime pas chez eux.

J'aime bien dire aux autres ce qu'ils ont de bien pour leur faire plaisir. Je fais encore plus d'efforts avec les gens qui ne m'aiment pas, alors que je ne les apprécie pas forcément…

 

A force de baser ma vie sur le bonheur des autres, je me demande parfois si je vis moi-même…

 

Si j'ai quelque chose de négatif à dire à quelqu'un (par exemple à mon mari ou à la nounou), j'en tremble, j'ai les larmes qui montent au moment de parler, et même si je suis dans mon "droit" ou que j'ai raison, j'en arrive vite à culpabiliser d'avoir blessé quelqu'un.

 

Même avec mes enfants, j'ai du mal à les réprimander (et pourtant, bizarrement, c'est moi qui exerce le plus d'autorité à la maison). Je le fais sur le moment parce qu'il faut le faire, et je passe la nuit qui suit à m'en vouloir de les avoir puni ou de les avoir fait pleurer… (Ils sont encore petits, 4 et 2 ans…)

 

Je râle sur mon mari parce qu'il fume un peu, et juste après, je me dis qu'il a aussi le droit de décompresser et de se faire plaisir…

 

Comme tout cela est compliqué !

 

Je ne sais pas si vous pouvez m'aider à me comprendre (à la rigueur je me demande même si c'est de l'aide que je viens chercher, ou alors si j'ai juste envie de parler…).

 

J'envoie ce post sans me poser de question. J'espère ne pas vous avoir dérangé…

 

Cordialement,

Christelle

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Bonjour Christelle,

 

Bienvenue sur ce forum de discussion. Nous n'avons pas très souvent des 2, alors j'espère que tu en es bien une ! :confused: Mais si ton message peut effectivement aller dans le sens de cet ennéatype, j'ai quelques questions, et d'autres hypothèses sont loin d'être exclues.

 

"Je ne sais pas si j'ai besoin de quelque chose en venant sur ce forum, mais j'ai envie de me connaître mieux."

Dans la vie, connais-tu tes besoins ? Comment les manifestes-tu ? Comment fais-tu pour qu'ils soient satisfaits ?

 

"Elevée dans une famille où l'expression des sentiments a toujours été taboue"

Un 2 préfère le centre émotionnel. Alors ne pas exprimer ses sentiments, cela lui est bigrement difficile. Comment faisais-tu à ce sujet dans la vie courante ?

 

"J'avais honte de ne pas me maîtriser…"

Pourquoi avais-tu honte ? Essayes-tu de maîtriser tes émotions dans la vie courante ? Si oui, pourquoi ?

 

"Je n'arrive pas à dire aux autres ce qui ne va pas, ce que je n'aime pas chez eux."

Pourquoi ? Pour ne pas être rejetée ? Pour ne pas blesser ? Pour ne pas entrer en conflit ? Ou… ?

 

"A force de baser ma vie sur le bonheur des autres, je me demande parfois si je vis moi-même…"

Essayes-tu de les aider à construire ce bonheur, ou t'oublies-tu en les laissant faire ?

 

Pourrais-tu nous parler de ton rapport à la colère ?

 

Pourrais-tu aussi nous décrire ton utilisation des centres mental et instinctif ?

 

Très cordialement,

Fabien

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Bonjour Fabien et merci de "t'intéresser à mon cas"…

 

"Dans la vie, connais-tu tes besoins ? Comment les manifestes-tu ? Comment fais-tu pour qu'ils soient satisfaits ?"

A vrai dire, quand j'y réfléchis là tout de suite, je n'ai pas l'impression d'avoir besoin de grand chose.

Je suis assez contente de ce que j'ai (un mari super, deux beaux enfants et un boulot) et je ne pense pas avoir besoin de quoi que ce soit d'autre.

Par contre, je sais qu'au boulot, j'aime bien travailler seule, j'ai du mal à "partager" mon travail.

Au moins dans ce cas-là, je sais ce qui se passe et je n'ai pas de surprise… Je cerne mieux les choses…

Mais j'aime beaucoup travailler pour les autres. Une partie de mon travail est consacrée au support utilisateur et c'est la partie qui me plait le plus. Je me sens utile, même si c'est ponctuel.

 

"Un 2 préfère le centre émotionnel. Alors ne pas exprimer ses sentiments, cela lui est bigrement difficile. Comment faisais-tu à ce sujet dans la vie courante ?"

A posteriori, je pense pouvoir dire que je n'étais pas très heureuse étant enfant. J'avais l'air joyeuse et bien dans ma peau (parce que c'est ce que mes parents attendaient de moi), mais je me sentais seule et incomprise. Mes rapports avec ma mère sont restés très basés sur le matériel. On parle de tout mais surtout pas de ce qu'on ressent, et ça me manque beaucoup. J'aimerais lui dire plein de choses, mais je ne la sens pas "réceptive". Alors je me tais. Et comme ça a été le cas avec mon père, je sais que j'aurai des tonnes de regrets quand elle partira. Mais j'ai l'impression que, pour ma mère, ce serait un signe de faiblesse de ma part de lui dire ces choses, et je veux pas lui montrer que je suis faible…

 

"Pourquoi avais-tu honte ? Essayes-tu de maîtriser tes émotions dans la vie courante ? Si oui, pourquoi ?"

Toujours ce sentiment de faiblesse. Dans la vie courante, je suis très émotive et je me sens faible de ne pas pouvoir maîtriser tout ça. Ca interfère beaucoup trop dans mes relations avec les autres, et ça ne m'aide pas à montrer une assurance que j'aimerais tant avoir…

J'ai passé toute ma vie à essayer de me détacher des choses pour éviter d'avoir trop mal, et je suis toujours rattrapée par mes émotions que je ne contrôle pas.

Ce n'est pas comme ça que j'ai été élevée. J'ai l'impression de ne pas être à la hauteur.

 

"Pourquoi ? Pour ne pas être rejetée ? Pour ne pas blesser ? Pour ne pas entrer en conflit ? Ou… ?"

Un peu pour toutes ces raisons. Avant tout ne pas blesser, et aussi ne pas être rejetée. J'ai du mal à supporter qu'on ne m'aime pas. J'ai besoin d'en comprendre les raisons si c'est le cas, mais ça me fait super mal…

J'aime avant tout faire plaisir aux autres. Par exemple, je commence à penser aux cadeaux de Noël six mois avant, et je suis impatiente de voir leur plaisir quand j'ai trouvé quelque chose qui se rapproche de ce dont ils ont besoin… Faire un compliment à quelqu'un, c'est pour moi une façon de mettre en avant les bonnes choses, de faire plaisir et aussi de me faire aimer je crois…

 

"Essayes-tu de les aider à construire ce bonheur, ou t'oublies-tu en les laissant faire ?"

J'essaie de les aider, mais pas forcément d'y participer. La plupart du temps, je me dis que voir les gens que j'aime heureux me rend moi-même heureuse et que ça me suffit, et parfois je sens bien qu'au fond, ce n'est pas ça la voie du bonheur même si ça en fait partie, ça ne peut pas y suffire…

 

"Pourrais-tu nous parler de ton rapport à la colère ?"

La colère est une ennemie pour moi, aussi bien celle des autres que la mienne. Parce que, une fois de plus, c'est une perte de contrôle. Si je me mets en colère, je vais ressasser les choses longtemps avant que ça sorte, et quand ça doit sortir, je me fais comme toujours submerger par mes émotions, et je me retrouve en larmes parce que je n'arrive pas à exprimer simplement ce que je voudrais dire.

Après une colère envers mes proches ou mes collègues, je ressasse beaucoup ce qui s'est passé, je culpabilise d'avoir blessé quelqu'un, et je m'en veux de m'être mise en colère. C'est toujours comme ça, et c'est fatiguant…

 

"Pourrais-tu aussi nous décrire ton utilisation des centres mental et instinctif ?"

L'instinctif intervient peu parce que je ne le laisse pas faire. Je "préfère" psychoter (ce que je fais beaucoup trop). Je passe 50% de mes journées à analyser les choses, les comportements, les paroles, et 50% à ressentir les choses, à essayer de gérer mes émotions, à me raisonner… J'ai mis le verbe "préférer" entre guillemets parce que quelque part, je n'ai pas le choix, ça vient tout seul. Quand je demande à mon mari à quoi il pense et qu'il me répond "A rien", ça me parait complètement impossible, et je me dis qu'il ne veut juste pas m'en parler. Ca ne m'arrive jamais de ne penser à rien.

J'essaie de me dire qu'il faut parfois laisser aller les choses sans réfléchir mais si je pense à ça, je me remets à me demander pourquoi je n'y arrive pas et ça boucle, je recommence à psychoter… Je n'arrive pas à m'abandonner, ça me fait trop peur…

 

Christelle

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Bonjour Christelle,

 

Revenons à la hiérachie des centres.

 

Le centre mental fonctionne en permanence : "Ca ne m'arrive jamais de ne penser à rien." Arrive-t-il qu'il s'emballe et étudie tellement d'hypothèses que cela provoque peur et doute ? Quand tu te lances dans un projet, utilises-tu le mental pour le planifier, ou as-tu tendance à te lancer sur un coup de coeur ou sur une impulsion ? Si tu analyses avant, te centres-tu plutôt sur ce qui est positif, ou plutôt sur les risques potentiels ?

 

Le centre émotionnel semble fort, mais plutôt une source de problèmes. C'est cela ? Te sers-tu plus souvent de l'émotionnel ou du mental ?

 

Quant au centre instinctif, tu écris : "L'instinctif intervient peu parce que je ne le laisse pas faire." Peux-tu préciser ? Pourquoi ne le laisses-tu pas faire ?

 

Plus globalement, en fonctionnement normal, quel centre préfères-tu ? Si tu devais te passer de l'un d'entre eux, ce serait lequel ?

 

"parce que c'est ce que mes parents attendaient de moi."

Pourquoi faisais-tu ce que tes parents attendaient de toi ? Parce qu'ils avaient l'autorité ? Par loyauté pour eux ? Pour avoir la paix ? Ou pour une autre raison ?

Quelle est l'importanc pour toi de ces deux valeurs (loyauté et paix) ? Que penses-tu de l'autorité ? Comment te situes-tu par rapport à elle ?

 

"Je ne veux pas lui montrer que je suis faible…"

Pourquoi ? Te sens-tu faible pour autre chose que pour la non-maîtrise des émotions ?

 

"Je me sens faible de ne pas pouvoir maîtriser tout ça."

En quoi est-ce important de maîtriser tout cela et de "contrôler les émotions" ?

 

"Je n'arrive pas à m'abandonner, ça me fait trop peur…"

Peur de quoi ? Que pourrait-il arriver si tu t'abandonnais ?

La peur est-elle une émotion fréquente dans ta vie ? A propos de quoi ?

 

C'est tout pour aujourd'hui.

Très cordialement,

Fabien

 

P.S. : "Quand je demande à mon mari à quoi il pense et qu'il me répond 'A rien', ça me parait complètement impossible, et je me dis qu'il ne veut juste pas m'en parler. Ca ne m'arrive jamais de ne penser à rien." Si ton mari est bien 6, cela ne devrait pas lui arriver souvent non plus.

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Bonjour Fabien,

 

Il arrive effectivement souvent que le centre mental s'emballe et imagine toutes sortes d'hypothèses. Et en général, ça finit par de la peur et du doute.

Mais ma première réaction devant une situation nouvelle est avant tout émotionnelle. D'abord c'est positif, excitant, et j'ai envie de me lancer très vite dans l'aventure.

Si après cette première réaction, j'ai le temps de réfléchir, j'ai tendance à me faire peur plutôt qu'autre chose. J'ai alors besoin d'être rassurée, mais quelque part, la première émotion me manque, et je n'arrive pas à revenir dans cet état d'"euphorie". J'essaie toujours de peser le pour et le contre, mais ma décision est plus en fonction des risques, que des bénéfices. Cela ne veut pas dire que le projet s'arrête, mais je me lance de façon plus prudente.

 

En fait pour être bien, je pense qu'il faudrait que l'émotionnel reste en l'état, mais que j'arrive à mieux contrôler ce qui se dégage de moi. C'est très frustrant d'avoir des choses à dire (bonnes ou mauvaise), et de ne pas pouvoir s'exprimer uniquement parce que je suis submergée par mes émotions. Souvent c'est clair dans ma tête, mais ce qui sort est brouillé par des "émotions parasites" qui sont certes réelles, mais qui feraient mieux de rester à l'intérieur.

 

En ce qui concerne le centre instinctif, je ne pense pas pouvoir m'y fier, donc j'écoute très peu mon instinct. Je pense qu'il vaut mieux ressentir et réfléchir aux choses.

 

Je pense qu'en fonctionnement normal, je me laisse guider par mes émotions, surtout dans l'instant, si je ne prends pas le temps de réfléchir. Surtout en ce qui concerne mes relations avec les personnes que j'aime. Si j'ai envie de faire plaisir à mes enfants ou à mon conjoint, j'ai besoin d'assouvir cette envie pour me sentir bien. Cela sans raisonner (par exemple, même si mes comptes ne me le permettent pas vraiment, s'il me prend l'envie de faire un cadeau à quelqu'un, je le fais, sans me dire que ça va peut être poser problème par la suite. Ce n'est pas que je suis dépensière parce que je ne le suis pas, mais si j'ai envie de faire plaisir, ça passera avant le reste.).

 

"Parce que c'est ce que mes parents attendaient de moi."

J'ai toujours voulu leur faire plaisir et ne pas les décevoir. Puisqu'il fallait que je garde mes émotions pour moi pour que la petite fille que j'étais leur convienne, je le faisais. Ca se résume à ça. Pour ce qui est de l'autorité, je n'ai pas de problème avec ça, je m'y soumets sans problème. A l'école, je ne me suis jamais fait remarquer. Au boulot, c'est pareil.

Même si parfois je la trouve injuste, il faut bien que quelqu'un dirige les choses, et ce n'est pas mon rôle.

La paix est importante dans ma vie, je n'aime pas les conflits. J'ai du mal à prendre partie pour l'un ou l'autre. J'ai tendance à défendre tout le monde. Non que je sois une girouette dans mes avis, mais je pense que rien n'est tout blanc ni tout noir, et qu'il y a toujours du bon à prendre dans la situation. Ce qui fait que je suis souvent prise entre deux faits, et que je fais le médiateur entre deux parties. J'essaie de calmer le jeu.

La loyauté est une notion que j'ai du mal à appréhender.

 

"Te sens-tu faible pour autre chose que pour la non-maîtrise des émotions ?"

Non, mise à part dans la gestion des émotions, je ne me sens pas particulièrement faible.

 

"En quoi est-ce important de maîtriser tout cela et de 'contrôler les émotions' ?"

Je pense qu'il y a des choses que je devrais savoir garder pour moi. Sans les refouler, mais parfois aussi sans les partager. J'ai l'impression qu'elles m'appartiennent et que je dois les gérer seule.

Je me sens faible parce que la plupart du temps, mes émotions sont un peu "démesurées" par rapport à la situation, et que je passe pour quelqu'un de trop sensible. Je ne renie pas ma sensibilité, mais parfois j'aimerais vraiment la mettre de côté.

 

"Peur de quoi ? Que pourrait-il arriver si tu t'abandonnais ?

La peur est-elle une émotion fréquente dans ta vie ? A propos de quoi ?"

Je ne sais pas ce qui pourrait m'arriver, et c'est justement ce qui me fait peur !

J'ai effectivement souvent peur. Peur de perdre mes proches, peur que mes enfants souffrent, ne s'intègrent pas à l'école, soient malheureux, peur de ne pas voir qu'ils ne vont pas bien. Mais je pense que c'est légitime quand on est une maman. Le problème, c'est que j'ai du mal à les laisser libre parce que je me sens très responsable de ce qui peut arriver. Mais bon, tout ça, je crois que c'est général à tous les parents ! Sinon, c'est vrai que dans la vie, j'ai vite tendance à imaginer des scénarios-catastrophes (par exemple, si quelqu'un est en retard, ma première pensée est un accident). Et même si j'essaie de me raisonner, la peur reste très présente tant que je ne suis pas sûre qu'il ne s'est rien passé de grave…

 

Pour le post-scriptum, je crois effectivement que mon mari pense que ce qu'il a dans la tête n'a pas d'importance et ne m'intéressera pas. Il a une forte tendance à s'autocensurer et à penser qu'il n'est pas quelqu'un d'intéressant ou qui mérite qu'on l'écoute…

 

Ca fait longtemps que je ne m'étais pas confiée, et ça me travaille pas mal. Pas facile de discuter de choses aussi personnelles. Merci de ta compréhension et de ton absence de jugement.

 

Christelle

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Bonjour Christelle,

 

"Pas facile de discuter de choses aussi personnelles. Merci de ta compréhension et de ton absence de jugement."

Merci à toi de ta confiance.

 

Tu n'as pas répondu à mes questions sur les centres, en début de mon dernier message. J'ai pourtant besoin d'une réponse pour avancer entre plusieurs hypothèses. Dans tes messages, il y a des éléments de :

- 2, mais j'ai un doute, car les émotions semblent être une source de difficultés, alors que pour le 2, c'est quand même le centre préféré. Cela pourrait toutefois s'expliquer par une empreinte forte des parents.

- 6, car la pensée perpétuelle, le doute et la peur sont là. Et une certaine loyauté envers la famille ou l'entreprise où tu acceptes l'autorité. C'est quand même le type qui semble le plus visible, en tablant sur un sous-type conservation ("Cordialité"). Le problème est que tu affirmes que l'émotionnel vient avant le mental, ce qui n'arrive chez le 6 qu'en cas de stress.

- 9, avec une possibilité de fusion avec un mari 6 pour expliquer le point précédent.

 

Je pense que cela se joue entre ces trois types. Durant la fermeture du forum pour changement de logiciel, pourrais-tu réfléchir à ces ennéatypes en termes de compulsion, passion et fixation.

 

Très cordialement,

Fabien

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