Pierre-Ambroise Bosse

[Pocahontas]

Bonjour à tous,

 

Pendant ces vacances, j'ai suivi les mondiaux d'athlétisme avec intérêt, et notamment la victoire de Pierre-Ambroise Bosse sur 800 m. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'en plus d'être un sacré champion, c'est un drôle d'oiseau. Alors, Pierre-Ambroise Bosse… Un 7 ? Florilège.

 

Pierre-Ambroise Bosse raconte des histoires (style de communication)

 

PAB (Pierre-Ambroise Bosse) a une réputation de blagueur. Ça donne : « Pierre-Ambroise Bosse : florilège de ses blagues au micro de journalistes » [Le Monde, 9 août 2017.].

 

La positive attitude yeah ! (orientation)

 

Au sujet de l'aspect ludique que PAB trouve dans son rapport aux journalistes et au sport :

 

"On a l’impression que vous prenez presque plus de plaisir à parler après la course qu’à courir…

Je prends beaucoup plus de plaisir à courir. Après, j’aime bien le jeu des journalistes. Pour moi, c’est du jeu tout ça. Et puis il y a les endorphines : après les courses, pfiou, on se sent un peu bizarre, alcoolisé. C’est pour ça que je suis relax." [Extrait de l'article «  Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde du 800 m : “La suite me fait peur” » Le Monde, propos recueillis par Yann Bouchez, 9 août 2017.]

 

"Champion, champion, champion du monde, je suis champion du monde." Le français Pierre-Ambroise Bosse, sacré champion du monde du 800 m, a détourné à sa manière les dernières paroles de La Marseillaise lors de la remise des médailles, mercredi 9 août, à Londres (Royaume-Uni). [...] "Le sport est un jeu, a réagi Pierre-Ambroise Bosse au micro de Francetv sport, peu après sa remise de médaille. [...] Moi, je m'amuse, que je gagne ou que je perde." Le champion, habitué à se faire remarquer sur les bords des terrains pour ses facéties, a expliqué pourquoi la fin de l'hymne l'avait inspiré. "Ce n'était pas tout à fait ma tonalité, a-t-il expliqué. Du coup, je ne me sentais pas à l'aise mais bon, j'adore chanter. Une veille de finale, si tu m'invites au karaoké, je viens." [Extrait de l'article « Pierre-Ambroise Bosse détourne les paroles de “La Marseillaise” lors de la remise de sa médaille d'or à Londres », France Info.]

 

"Dans la vie de tous les jours, il est vraiment un peu fou, extraverti, résume Erwan Benech, un ami de l’Insep. Quand on fait des soirées, c’est le mec qui va sortir des conneries à tout bout de champ. Il va toujours chercher à positiver. Même si quelque chose va mal, il ne le montrera jamais. Quand on le connaît bien, on peut déceler quelques failles, on voit des choses qui peuvent le chiffonner. Il ne montre rien, ça peut le desservir car les gens ont tendance à penser que rien ne l’atteint. Mais pour le connaître dans l’intimité, c’est vraiment quelqu’un de sensible." [Extrait de l'article « Mondiaux d'athlétisme : Pierre-Ambroise Bosse, ce champion “visionnaire” qui n'en a rien à foutre (de rien) », 20 minutes, 9 août 2017.]

 

To be the Bosse or not to be (expression du domaine et de la dichotomie)

 

"Depuis qu'il a décroché le titre de champion du monde du 800 mètres, Pierre-Ambroise Bosse s'est fait une réputation, celle d'une personne “arrogante”, certains même le qualifient de “connard”. Dans une interview au quotidien L’Équipe, il répond ! Cette réputation "est parfois erronée", regrette-t-il. Et d'ajouter: “Des gens que je rencontre et qui deviennent des proches me disent : "Tu sais, il y a deux semaines, je pensais que t'étais un connard, un petit arrogant, mais je suis agréablement surpris parce que tu n'es pas du tout comme ça dans la réalité.".
"Peut-être que je porte un costume qui n'est pas le mien, que l'image que je renvoie à la presse n'est pas la bonne. Mais ça fait partie de moi", a-t-il poursuivi.

Avant de confier: "Je ne pense pas avoir plus le melon qu'untel ou untel. Parfois, je me trouve plus humble que d'autres. Je sais d'où je viens, j'ai quand même des valeurs." [Extrait de l'article « Pierre-Ambroise Bosse, nouveau champion du 800 mètres, réagit à sa réputation de “connard et arrogant” », jeanmarcmorandini.com, 10 août 2017.]

 

Voici une anecdote à son sujet que je trouve plutôt révélatrice :

 

"Tout commence par un accent. Pas celui du bassin d'Arcachon, où il a grandi et où il est toujours licencié au club de Gujan-Mestras. Non, Bosse, récent champion du monde sur 800 m à Londres, ne l'a jamais eu cet accent : il est né à Nantes, en mai 1992. L'accent, c'est plutôt celui qu'il a décidé d'ôter à son nom : Bosse, plutôt que Bossé, comme ses parents l'avaient inscrit à l'état-civil. "Mon nom, c'est Bosse", avait-il proclamé en 2012 à Helsinki, lors de championnats d'Europe qui l'avait révélé (médaille de bronze). À la grande colère de son père, qui avait voulu rétablir la vérité." [Extrait de l'article « Mondiaux 2017 : Pierre-Ambroise Bosse, ce jovial champion », ouest-france.fr, 8 août 2017.]

 

Vous avez dit intempérance ? (passion)

 

"C’est quoi, s’en battre les couilles ? Pierre-Ambroise Bosse a 25 ans. Il sort, beaucoup. Se met de sacrées caisses, régulièrement.

Raconté par une demi-douzaine de plus ou moins proches, Pierre-Ambroise Bosse, c’est le mec qui part dans un pays sans savoir la valeur de la monnaie et se retrouve en interdit bancaire sans moyen pour rentrer en France.

C’est le mec qui, à la fin des Jeux de Londres, s’est retrouvé au petit matin à payer une note hallucinante dans un hôtel après avoir terminé complètement arraché en boîte.

C’est le mec qui, en 2012, s’est retrouvé perdu (ivre mort, bien sûr) au milieu de Tokyo, à demander son chemin à des policiers.

C’est le mec qui, lors d’un stage en Afrique du Sud, part avec un pote en boîte la veille d’un entraînement important, rentre à 8 heures du mat’ et fait dans la foulée la meilleure séance du stage. Avant de conclure que « c’était peut-être la solution pour percer ».

C’est le mec qui, cette année, a décidé sur un coup de tête de partir faire un stage en Australie. Pourquoi l’Australie ? Bah parce que pourquoi pas.

C’est le mec qui jouait à des jeux vidéo de stratégie de 18 heures à 7 heures du matin, juste avant une grosse séance d’entraînement. Et avant la deuxième séance, au lieu de récupérer et faire une sieste, il retournait jouer.

[…]

Et encore, des comme ça, ses potes en ont "des millions" , mais préfèrent en taire la majorité. "Le plus dur, c’est de choisir les anecdotes, parce que je n’ai pas envie qu’il me déteste derrière, rigole le hurdler Dimitri Bascou, coéquipier de Bosse à Créteil. Quand vous le voyez à la télé, en fait il est calme. Il est bien plus fou en vrai. Avec PA, on pense juste à fêter, on pense pas trop à l’après. Pour les prochains jours, j’ai peur pour lui à Londres. J’hésitais à monter le rejoindre pour le canaliser, mais ça va être compliqué." [Extrait de l'article « Mondiaux d'athlétisme : Pierre-Ambroise Bosse, ce champion “visionnaire” qui n'en a rien à foutre (de rien) », 20 minutes, 9 août 2017.]

 

Du mental...

 

Au sujet du RABisme (Rien-A-Branler-isme) dont il est question dans l'article, l'ami de PAB, Bryan Cantero, explique :

 

"C’est une manière de dire qu’il n’y a pas que l’athlétisme. Certains athlètes se frustrent tellement qu’ils explosent… Lui non. Il écoute ses envies du moment, ses sensations. Il vit et c’est ça qui est beau. Je pense, sincèrement, que c’est un visionnaire et qu’il a un temps d’avance dans l’approche mentale du très très haut niveau. C’est un garçon très intelligent. Les gens s’intéressent à lui pour sa spontanéité lors des interviews où il surprend car il dit des choses au moment où personne ne s’y attend. Tout ça, c’est une carapace qu’il a appris au fur et à mesure des années à épaissir pour se protéger de la pression." [Extrait de l'article « Mondiaux d'athlétisme : Pierre-Ambroise Bosse, ce champion “visionnaire” qui n'en a rien à foutre (de rien) », 20 minutes, 9 août 2017.]

 

Du futur... (fixation)

 

"Diagnostiqué hyperactif dans sa jeunesse, le garçon a toujours eu du mal à trouver le sommeil, à se reposer, à se poser. Alors forcément, ça trotte dans la tête, en permanence. L'athlétisme ne peut être qu'un temps de passage dans sa vie. Et que peut bien faire la nuit un garçon en pleine force de l'âge ? Il prépare l'avenir, bien sûr. En février dernier, avec un pote, il a lancé l'application "Deserve Her", un site de rencontres, "une start-up lancée en se servant de notre réseau sportif. Mon objectif est d'être businessman, confie Bosse. […] Ça ne m'intéresse pas de faire des études, je n'ai pas le temps en même temps que le sport. Alors on fait d'une idée un projet : c'est un site de rencontres, on veut concurrencer Tinder. Ça correspond à mon image et ça ne choquera pas les gens. C'est très sérieux", racontait le Français avant le lancement de l'application. […] J'ai beaucoup d'idées et j'espère que j'aurais assez de temps et de fonds pour les concrétiser", réfléchit-il." [Extrait de l'article « Mondiaux 2017 : Pierre-Ambroise Bosse, ce jovial champion », ouest-france.fr, 8 août 2017.]

 

Et de la peur qui va avec

 

Il se confie au sujet de sa course et de sa victoire :

 

"Êtes-vous stressé ?

Bien sûr que je suis en stress. C’est la panique totale à l’intérieur, il se passe des choses, il y a un feu d’artifice là-dedans. On ne réalise pas vraiment. Ça me tombe dessus. Les gens autour font que tu réalises ce qu’il se passe, c’est la réalité. Je suis vraiment champion du monde, je peux le dire. Ça fait peur. […] Je suis sérieux avec vous. Quand je vous dis que j’ai peur de la suite, et que j’ai peur dans mes courses, qu’on hésite à chaque moment… Hier c’est vrai que je n’ai pas beaucoup hésité. Et ça a payé." [Extrait de l'article «  Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde du 800 m : “La suite me fait peur” » Le Monde, propos recueillis par Yann Bouchez, 9 août 2017.]

 

 

Gestion de la souffrance (compulsion)

 

"Qu’est-ce qui vous fait peur, dans un 800 m ?

La douleur, avant tout. La prise de décision, et celle que tu ne prends pas. Le 800 m, c’est une accumulation de petits regrets.

[…]

 

Cette dernière ligne droite a été dure ?

C’est une ligne droite de persévérance, de souffrance, de tant de choses qui font que le 800 m est extraordinaire. C’est devenu ma passion, ça ne l’est pas à la base." [Extrait de l'article «  Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde du 800 m : “La suite me fait peur” » Le Monde, propos recueillis par Yann Bouchez, 9 août 2017.]

 

Au sujet de PAB :

 

"C’est le mec qui se met à siffloter et chanter dans la chambre d’appel à côté de tous ses adversaires juste avant une grande course internationale, provoquant l’hilarité de types en pleine concentration." [Extrait de l'article « Mondiaux d'athlétisme : Pierre-Ambroise Bosse, ce champion “visionnaire” qui n'en a rien à foutre (de rien) », 20 minutes, 9 août 2017.]

 

Variante alpha

 

"Depuis toujours ce qui m’a marqué, c’est qu’il savait que cette carrière, c’était pour lui. Les sorties c’est quelque chose, l’entraînement c’en est une autre. Quand il est sur la piste, il est hyper professionnel, c’est peut-être le plus pro que je connaisse. Il fait le travail comme personne ne le fait. Il s’écoute, il sait écouter son corps." [Extrait de l'article « Mondiaux d'athlétisme : Pierre-Ambroise Bosse, ce champion “visionnaire” qui n'en a rien à foutre (de rien) », 20 minutes, 9 août 2017.]

 

Bonne rentrée à tous  !

Sportivement,

Pocahontas

[Fabien Chabreuil]

Bonjour à tous,

 

On peut fermer les yeux, pas les oreilles ! Attendant une autre émission, j'avais entendu à la radio, durant l'été, un compte-rendu des Mondiaux d'athlétisme avec une brève interview de Bosse. Cela m'avait réveillé tant l'ennéatype 7 paraissait probable. Du coup, j'avais aussi lu un article sur le site du Monde, puis envisagé même d'écrire quelques lignes sur le forum. La paresse l'a emporté. Heureusement, je n'aurais certainement pas fait quelque chose d'aussi précis que toi, Pocahontas. Un grand merci donc.

 

Un 7 qui s'appelle Bosse, c'est déjà son premier gag puisque c'est lui qui a voulu supprimer l'accent sur la dernière lettre de son patronyme. On notera aussi son besoin, visible chez de très nombreux 7, d'affirmer par deux fois que ce qu'il dit est "sérieux" : nous sommes tellement habitués à ce que nos interlocuteurs ne sachent pas faire la distinction entre les moments où nous le sommes et les moments où nous plaisantons (après presque 34 ans de vie commune, Patricia a encore parfois des doutes…).

 

Très amicalement,

Fabien

[Jérôme]

Bonjour à tous,

 

Merci Pocahontas pour ce billet. Fan d'athlétisme je n'ai rien raté des championnats cet été, et l'ennéatype de "PAB" m'a effectivement semblé évident.

 

J'ai notamment entendu une interview, que je ne retrouve pas, où il expliquait, si mémoire est bonne, qu'un pote digne de ce nom boit des bières, et que pour lui la vie est un jeu.

 

Dans ses anecdotes racontées à Nelson Monfort, il y a aussi le nom de son chat, "Rabs, comme Rien À Branler au pluriel", et son anecdote de bouteille renversée sur son lit qui fait de lui "le seul qui mouille ses draps sans fille". 

 

Bises à tous,

Jérôme

 

 

 

 

[Pocahontas]

Bonjour,

 

Merci Jérôme pour ton retour. Les anecdotes que tu cites et que PAB raconte à Nelson Monfort sont disponibles dans la vidéo du premier lien du post.

Comme tu le soulignes ainsi que Fabien, son type est assez évident et m'a sauté aux yeux (ou plutôt aux oreilles). J'ai trouvé des exemples en abondance, si bien que, pif paf pouf ce post s'est monté assez rapidement.

 

"Fan d'athlétisme je n'ai rien raté des championnats cet été."

J'apprécie beaucoup de regarder le sport à la TV. Pendant ces championnats je me suis prise à me demander régulièrement de quels types pouvaient bien être tel-le ou tel-le athlète, notamment Usain Bolt et Renaud Lavillenie.

Je ne me suis pas penchée plus que ça sur leur cas même si, ayant déjà visionné plusieurs documentaires sur Usain Bolt, je parierais volontiers sur un type 3.

 

Petit récapitulatif des scores :

Compteur Pocahontas : 41

Compteur Fabien Chabreuil : 4552

Allez, encore un p'tit effort, plus que 4511 messages pour battre le BOSS !

 

Que vive éternellement la compet' !

Sportivement,

Pocahontas

[Fabien Chabreuil]

Bonjour à tous,

 

"Allez, encore un p'tit effort, plus que 4511 messages pour battre le BOSS !"

Il faudrait pour que ce calcul soit exact que le BOSS arrête de poster : Pocahontas, tu es une tentatrice ! Il y a dans le logiciel de gestion de ce forum beaucoup de fonctions qui permettent de lancer l'ego dans la compétition : on peut compter les messages de chaque membre, noter les membres, noter les messages, voter pour le meilleur message d'une conversation, et j'en oublie peut-être. J'ai désactivé toutes ces fonctions sauf la première qui fait pourtant couler beaucoup d'encre. une recherche sur le mot "compteur" te montrera toutes les personnes qui en ont parlé ici, et évidemment il y a les compétiteurs silencieux.

 

Pour rester dans le sujet, je vais faire une blague à la Bosse pour clore cette parenthèse : ce n'est pas la taille (du compteur) qui compte.

 

Très amicalement,

Fabien

[Fabien Chabreuil]

Bonjour à tous,

 

Pierre-Ambroise Bosse s'est fait agressé dans un parking assez violemment. Interrogé à ce propos, il affirme qu'il a "toujours beaucoup de chance dans son malheur". L'interviewer lui demande :

— Est-ce que cette agression vous a donné une forme de gravité ?

— Pour l'instant parce que je fatigue vite. J'ai une petite fiole d'énergie à l'heure actuelle qui fait que je peux pas me défouler autant. J'ai moins d'énergie parce que je dors moins, parce que ça cogite un peu, mais ça va revenir très vite.

Ouf, on est rassuré.

 

Très amicalement,

Fabien

 

Source : Pierre-Ambroise Bosse interviewé par Thierry Demaizière, « Le portrait de la semaine : Pierre-Ambroise Bosse raconte son agression », Sept à Huit, LCI, 10 septembre 2017.

[Yves]

Bonjour à tous,

 

Voilà un 7 courant peu courant.

 

J’ai été surpris par l’emploi par Pierre-Ambroise, dans le contexte de cette agression très émotigène (pour moi), des mots « fatigue » et surtout « énergie », alors que l’interviewer lui proposait le mot « gravité » dans son sens abstrait, je suppose. Je m’attendais, de la part de Pierre-Ambroise, à des mots plus en résonance avec ma compassion pour lui. A-t-il choisi ces mots de la sphère de son centre de support, afin d’éviter celle de son centre réprimé ? Une raison de ma surprise est l’inversion de nos centres de support et réprimés respectifs.

 

En lisant la très intéressante analyse de Pocahontas — merci Pocahontas —, j’ai songé à une chanteuse 7 mu affirmant son « besoin de poussées d’adrénaline ». L’adrénaline, l’intensité, le plaisir, cette chanteuse et Pierre-Ambroise les cherchent en activant leur centre de support. Elle, lorsqu’elle chante en public ; lui, en compétition, et probablement aussi à l’entraînement, pendant ses fractionnés sur 400, 200 et 100 mètres, assez brefs et variés pour éviter le poids de l’ombre de l’ennui.

 

Avec gravité,

Yves

[Fabien Chabreuil]

Bonjour à tous,

 

"Je m’attendais, de la part de Pierre-Ambroise, à des mots plus en résonance avec ma compassion pour lui."

Yves, rappelle-toi qu'un 7 est persuadé qu'on n'aime pas les gens qui souffrent et qu'il ne confie donc ses problèmes qu'à des personnes qu'il aime et en qui il a une grande confiance. Alors devant le grand public, il n'est possible que de dire le minimum. Les conséquences de ce qu'il a vécu, c'est donc principalement une petite baisse d'énergie très temporaire.

 

Très amicalement,

Fabien

[Yves]

Bonjour à tous,

 

Merci Fabien d’avoir rappelé ce trait du 7 et l’importance du contexte.

 

J’ai encore du travail de connaissance des autres à faire.

 

Amicalement,
Yves