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Lynda Lemay


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Bonjour à tous !
 
Pour éviter trop de procrastination, je me lance dans ce sujet qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps déjà. J'ai pas mal de choses à dire mais on va y aller doucement, parce que je n'ai pas forcément trop temps devant moi et en plus, j'aurais toujours quelque chose à rajouter ou à redire (merci la confiance en soi ! :wink:).
 
Donc j’émets l'hypothèse que Lynda Lemay est une 4.

Pour info je m'appuie sur une interview de cette artiste à cet endroit : http://www.idolesmag.com/interview-430-Lynda-Lemay.html
 
Dans ce texte je suis étonnée par la description du processus créatif que je trouve très 4
 

Pendant la création, je suis très égoïste, je pense plus à ma réaction à moi (rires). Je choisis les mots par rapport à moi-même et par rapport à ce que ça me fait vivre comme émotions au moment de l’écriture. C’est un moment très personnel, l’écriture. Je m’écoute, moi, en fait. Cependant, aussitôt que j’ai une demi-chanson ou trois-quarts de chanson, souvent je la montre à ma sœur Diane qui n’est jamais loin. Par exemple, si je dois m’isoler au chalet pour avoir du temps ou de la liberté pour écrire pendant quelques jours, c’est Diane qui va m’accompagner. Donc c’est souvent elle ma première oreille et mon premier public. Et la réaction qu’elle va avoir va guider probablement la fin de la chanson. Si je vois qu’elle est très émue, ça va m’encourager à aller encore plus loin pour trouver le final qui va bien boucler la boucle… Alors, c’est donc elle qui représente le public à ce moment-là de la création.  C’est d’ailleurs un peu la même chose quand ce sont des chansons qui font rire. Moi, je me fais rire au début et si j’ai bien ri, je peux la présenter à Diane ou à ma famille, mes enfants… Ce sont eux mon premier public. Mais au départ, je veux me faire rire moi-même. Je me dis que si ça m’amuse, je peux me laisser aller. Après m’être bien amusée, je regarde si mon premier public s’amuse autant que moi-même. Et quand, ça a passé le cap de ce premier public familial, je me dis que ça vaut le coup d’aller les chanter sur scène !

 

Je trouve qu'on retrouve bien le centre émotionnel intérieur et le besoin d'introjection et de sublimation. Il y a aussi très fort le regard de l'autre qui est nécessaire…
 
Je continuerai à vous en causer petit bout par petit bout (mais de manière groupée et organisée…) L'interview fait quand même 4 pages... donc j'imagine bien que tout le monde ne le lira pas.
 
À plus pour de nouvelles aventures palpitantes !!

Quokka – 4 alpha, X, aile 5

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