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L'agoraphobie pour survivre


Stéphanie Auxenfans

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Stéphanie Auxenfans

Une amie 2 alpha de sous-type sexuel avait une vie très intense sur tous les plans.

Elle travaillait et sortait beaucoup. Lorsque nous sortions en boîte de nuit, elle arrivait à rencontrer et connaître la plus part des personnes présentes. Elle venait me chercher sur la piste pour aller boire un verre et me présentait toutes les personnes qui nous entouraient. J'étais vraiment très impressionnée, d'autant plus que j'ai un contact facile, mais là ça dépassait tout. Nous finissions la soirée à la fermeture de la boîte, je rentrais chez moi, et elle continuait la soirée ou plutôt la journée chez elle avec d'autres copains, copines, jusqu'à la fin du dimanche soir, pour reprendre le travail le lundi matin. J'étais complétement hallucinée du rythme qu'elle tenait, et elle sortait aussi la semaine pour son travail.

Elle a vécu des années comme ça pendant des années, une vie à mille à l'heure, entourée par mille personnes.

 

Jusqu'au jour où elle a vécu lourd traumatisme. À partir de ce moment-là, elle s'est enfoncée de plus en plus profond dans une dépression très violente qui a duré plus de quatre ans. Elle est devenue agoraphobe. Elle qui était constamment entourée et reliée à une foule de personnes ne pouvait plus voir personne, s'enfermait à double tour chez elle, et n'ouvrait plus sa porte. Elle était prise de terribles angoisses quand quelqu'un sonnait à sa porte.

Aller travailler était devenu un supplice. Dès qu'elle pouvait, elle s'enfermait dans les toilettes. Prendre les transports en commun pour aller travailler était devenu impossible. Elle qui détestait le sport a acheté un vélo pour aller au travail. Seul déplacement qu'elle effectuait. Au bout d'un moment, elle a été obligée de quitter son travail, il lui était devenu insoutenable d'y aller. Puis elle a quitté Paris. Aujourd'hui elle a quitté la France.

Sexuellement, elle a vécu le même processus. Elle avait une vie sexuelle très active et libre. Depuis cette dépression, elle a un dégoût énorme de la sexualité et ne peut pas avoir de vie intime. Et cela malgré le fait qu'elle partage sa vie avec un homme depuis bientôt 3 ans.

Je l'ai vu passer d'une joie et d'une énergie excessive à un isolement extrêmement excessif. Sans doute la seule manière, inconsciente pour elle, de se couper des autres, et de penser à elle et de survivre.

 

Amicalement,

Stéphanie

Stéphanie – E3 alpha, aile 2, C+/- S+ X++

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Bonjour Stéphanie,

Ton témoignage au sujet de ton amie 2 alpha est vraiment triste et m'a renvoyé à un cas similaire : ma mère, 2 alpha C+, qui vit quasiment en recluse depuis quelques années. Ma mère, qui a passé sa vie au service des autres (et notamment à soigner tous les malades de la famille). Le temps passant, beaucoup de "ses malades" sont morts, et j'ai vu mon énergique mère sombrer dans l'isolement, refusant de sortir de chez elle, pas même pour faire les courses.

Lorsque je lui fais remarquer les effets désastreux de cette réclusion (notamment en termes physiques car le fait de ne pas bouger accélère prodigieusement le vieillissement : elle a du mal à marcher plus de quelques mètres), elle argumente que la seule chose qui compte c'est sa liberté : celle de n'avoir de contact avec personne pour pouvoir faire ce qu'elle veut ! :surprised:

Effectivement, "mangée par les autres" (c'est son expression), elle n'a trouvé de solution qu'en fuyant toute vie sociale (elle n'a plus une seule amie) et tout contact avec les autres. Les rares contacts avec les gens déclenchent souvent chez elle des maladies ou des symptômes physiques (qui renvoient au contrepoids égotique du 2).

Évidemment, elle présente tous les symptômes de la dépression (et je me demande d'ailleurs si la dépression est due au manque de contacts de sociaux ou si la rupture avec la vie sociale est une conséquence de la dépression :pt1cable:).

Bref, il me semble que ton amie, tout comme ma maman, ont besoin d'une aide sérieuse et d'un suivi professionnel… et je n'ai jamais pu convaincre ma mère se faire aider sérieusement, mécanismes du type obligent !

No comment sur la tristesse que cette situation déclenche chez moi, sans compter tous les mécanismes égotiques que cela peut activer chez la 8 alpha que je suis (notamment en terme de false core… mais l'aborder dans cette conversation serait hors sujet !). :sad:

Bien amicalement,
Aurore

Aurore (87 alpha, C++, S-/+, X+)

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Bonjour à tous,

 

Stéphanie et Aurore, ce sont effectivement de bien tristes témoignages.

 

Ils nous renvoient au concept PNL de meilleur choix : un symptôme psychologique est le meilleur choix que trouve une personne pour résoudre un problème donné. Faire disparaître le symptôme nécessite de trouver son intention positive et une manière saine de la satisfaire.

 

C'est exprimé de manière particulièrement criante dans le cas de la mère d'Aurore. Elle est consciente que son problème est dans la relation à l'autre, même si elle l'interprète en inversant le processus ("mangée par les autres"). Elle est même consciente de la solution puisqu'elle invoque "sa liberté", l'idée supérieure de son type. C'est après que cela se gâte : mauvaise compréhension de la liberté, mauvais moyen de l'atteindre par la réclusion plutôt que par la déconstruction des transes de la compulsion.

 

"Je me demande d'ailleurs si la dépression est due au manque de contacts de sociaux ou si la rupture avec la vie sociale est une conséquence de la dépression."

C'est l'œuf qui fait la poule qui fait l'œuf qui fait… Ne plus utiliser son centre préféré ne peut que créer de la dépression.

 

Très amicalement,

Fabien

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Stéphanie Auxenfans

Bonjour Aurore, Fabien et tous,

 

Oui, c'était très dur pour moi aussi de la voir dans cet état et de ne pas pouvoir l'aider d'avantage. Cependant elle a accepté de l'aide et a fait différentes choses, entre autre un stage de bases, un travail avec plusieurs psys. Je pense que sa vie en dépendait. Elle va mieux aujourd'hui et a pu arrêter les antidépresseurs auxquels elle était devenue complétement dépendante, même si les problèmes ne sont pas vraiment réglés. (Au fond, je sais qu'elle ne va pas bien, mais elle va tellement mieux qu'il y a 5 ans.)

 

J'ai repensé à une anecdote. Je l'ai connu durant mes études et nous nous sommes perdues de vue plus tard, mais j'ai toujours vu plein de personnes chez elle, à 17 ans comme à 30 ans. Aujourd'hui elle vit sur un petit bateau, où l'on peut être à 4 au maximum. Pour accéder au bateau qui est amarré dans un port à l'autre bout du monde, il faut une annexe. Quand je lui ai rendu visite l'année dernière, elle me disait à quel point c'est merveilleux pour elle d'avoir besoin de prendre une annexe pour rejoindre son bateau : ça permet d'être isolée et ça évitait les visites. Personne ne risquait de se pointer comme ça.

 

Elle aussi a évoqué la liberté, le faite d'être libre des autres. Là encore, elle croit avoir retrouvé sa liberté, alors qu'elle s'est coupé de son orientation et est tout sauf libre.

 

Je comprends ton désarroi, Aurore, et malheureusement, moi non plus, je ne sais pas comment l'accompagner et l'aider au mieux.

 

Affectueusement,

Stéphanie

Stéphanie – E3 alpha, aile 2, C+/- S+ X++

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  • 4 weeks later...

Bonsoir à tous,

 

Envie de souhaiter à tous une année douce et pétillante à la fois ! Qu'elle nous permette de poursuivre nos désirs de découverte toujours ! :kiss2:

 

Je reviens sur le forum après un certain temps :sad:… et découvre ces témoignages. Étant 2 alpha de sous-type sexuel, j'ai envie de vous communiquer mon expérience (comme Fabien dit en plus que les 2 ne communiquent pas beaucoup…).

 

Lorsque Stef, tu as parlé de "lourd traumatisme" (sans préciser ce que je peux comprendre), et la spirale que cela enclenché, cela a eu une résonance en moi. Sans avoir eu une vie de rencontres un peu folles, je me souviens que, bien plus jeune, il est vrai que je parvenais à rencontrer des personnes et les présentais aux autres… qui poursuivaient… mais pas moi forcément… je ne suis pas dans ce mode-là.

En revanche, plus tard, après quelques années avec un homme divorcé et 3 enfants, j'ai été contrainte (conséquences légales) de rompre tout contact avec les enfants. Et là, la douleur totale. J'ai eu ma rupture. Sans être devenue agoraphobe, j'ai traversé un désert… et j'ai eu la chance d'être accompagnée par des professionnels pour sortir du tunnel. Le chemin a été un peu long et pas facile… mais la vie est belle et elle est gaie !

 

Je retiens encore aujourd'hui des enseignements forts de cette étape (notamment c'est à partir de ce moment-là que j'ai accepté et souhaité demander de l'aide et que j'ai pu dire merci). Et j'ajoute, depuis pas si longtemps que cela, la fameuse question évoquée par Fabien "Quelle est l'intention positive… ?" Dans la plupart des circonstances de ma vie où j'ai un blanc, je me pose la question… Parfois la réponse n'est pas immédiate, mais elle vient toujours !

 

Alors, une réflexion, les 2 sont-ils plus susceptibles de "rupture" brutale que d'autres ? Le côté tout ou rien ? À approfondir pour moi.

 

Amicalement,

Odile

Odile E2 mu, aile 1, C+ S++ X=

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Fabien Chabreuil

Bonjour à tous,

 

"Alors, une réflexion, les 2 sont-ils plus susceptibles de "rupture" brutale que d'autres ? Le côté tout ou rien ?"

La non-prise en compte de ses besoins font que les 2 ont souvent du mal à interrompre à temps une situation ou une relation, d'où le risque de rupture brutale que tu évoques. Ceci dit, ils n'en ont pas l'exclusivité. Spontanément, je pense notamment aux 6 et aux 9.

 

Par ailleurs, je n'emploierais pas l'expression "tout ou rien" pour des personnes préférant le centre émotionnel. Ce dernier implique un certain sens de la nuance. Un tel côté tranché est plus visible chez les instinctifs, 1 et 8.

 

Très amicalement,

Fabien

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Bonjour Fabien,

 

En lisant ta réponse, je fus sans doute alors dans une grande période de désintégration en 8 et avec une aile 1 très poussée ? Je n'ai pas encore fait le stage sur les ailes mais au fil de ma lecture du grand livre blanc :kiss:, c'est ce que je ressens… que mon aile 1 était beaucoup plus forte dans ces années-là… J'avance à petit pas sur la compréhension du type 2

 

Amicalement,

Odile

Odile E2 mu, aile 1, C+ S++ X=

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Bonjour à tous,

 

La non-prise en compte de ses besoins font que les 2 ont souvent du mal à interrompre à temps une situation ou une relation, d'où le risque de rupture brutale que tu évoques. Ceci dit, ils n'en ont pas l'exclusivité. Spontanément, je pense notamment aux 6 et aux 9.
Oui. Ainsi un 2 (la compagne de mon frère) et moi nous sommes nous supportés quelques temps. Cette 2 a un énorme complexe par rapport au savoir, qu'il soit académique ou d'actualité. Elle veut toujours tout comprendre tout de suite. Si elle participait plus à la conversation — il est toujours posssible de poser des questions ! —, il y aurait beaucoup moins de tensions, et elle ne m'aurait jamais sauté dessus (pas physiquement, mais pas loin). La difficulté pour moi de recevoir (peu de m2, des cartons de tout partout, difficile d'être à la cuisine et à la conversation en même temps) a sauvé une part de mon indispensable tranquilité : je ne reçus plus. Franche démoralisation aussi. Passons. Le 2 ne se rendit même pas compte de cette demi-rupture, car on continua à se voir à l'occasion avec mon frère 3. Lorsque j'ai eu un signe avant-coureur de rupture côté 2 — le 2 envisageait de me blacklister comme sa propre sœur (que je ne connais pas) —, je fis savoir, via le 3, que la rupture d'avec le 2 avait déjà eu lieu de mon côté. Compte tenu du lourd passif familial par ailleurs, c'est dommageable. Heureusement, je n'ai jamais prétendu être le psy de la famille…

 

Très cordialement,

Thierry

9 alpha, grande aile 1, petite aile 8, sous-type conservation. Je me reconnais dans l'INTJ du MBTI.

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  • 1 year later...

Bonjour,

 

Je vous avais parlé dans cette conversation de la réclusion volontaire de ma mère 2 alpha.

 

Triste rebondissement :

Ma mère ayant une activité physique réduite devient de moins en moins mobile et a fait une chute l'été dernier en jouant avec ses petits enfants (Elle avait vraiment fait sa fofolle pour faire plaisir à ses petits enfants, alors qu'elle n'en avait pas les moyens physiques).

Depuis, elle bouge de moins en moins car elle a très mal au dos, en conséquence de cette chute, et n'a pas voulu se faire examiner ou soigner (Expression de sa compulsion ? Je ne reconnais pas mes besoins, ni ma douleur ?)

 

Mon père 8 alpha, las de la voir ainsi, a piqué une énorme colère la semaine dernière et l'a amené, presque de force, consulter. Moralité : une fracture (ou fêlure) d'une vertèbre. Hospitalisation nécessaire d'une semaine + des mois de rééducation.

 

Ma mère m'a exprimé hier, au téléphone, sa contrariété à devoir sortir de sa réclusion et sa gêne à ce qu'on s'occupe d'elle. Je suppose que pour une 2 qui aime aider les autres, recevoir l'aide de professionnels de la santé, ça doit être une horreur !

 

Bref, j'ai trouvé que cette anecdote illustrait tristement la compulsion du 2.
Et je ne sais toujours pas quoi faire pour l'aider ! :angry:

 

Amicalement.

Aurore (87 alpha, C++, S-/+, X+)

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Fabien Chabreuil

Bonjour Aurore,

 

Je suis désolé pour ta maman.

 

"Elle n'a pas voulu se faire examiner ou soigner (Expression de sa compulsion ? Je ne reconnais pas mes besoins, ni ma douleur ?)"

C'est une attitude que j'ai souvent observé chez des 2.

 

Par exemple, la sœur de Patricia avait des problèmes de vue qu'elle n'a pas fait soigner, et est aujourd'hui presque aveugle.

 

Ma meilleure amie est 2. Patricia et moi avons passé le dernier lundi de Pâques chez elle et son mari. À un moment donné, elle me montre un livre qu'elle venait de lire et avait fort apprécié. Je prends donc mes lunettes, en râlant de ne plus pouvoir lire sans y avoir recours. Elle me dit que c'est aussi son cas — elle a exactement le même âge que moi. Et là, je découvre avec stupeur qu'elle utilise de ces loupes de lecture qu'on vend en pharmacie et qui ne sont, par nature, pas adaptées à sa vue. Pourtant elle a les moyens de se faire faire de vraies lunettes. Très largement. Oui mais il faut aller chez l'ophtalmologiste, chez l'opticien, bref s'occuper de soi.

 

Très amicalement,

Fabien

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Bonjour Aurore, Fabien,

 

C'est effectivement très douloureux de voir quelqu'un qu'on aime refuser de s'occuper de soi. De tout cœur avec toi Aurore.

 

J'entends bien que cela peut correspondre à ne pas reconnaître ses besoins… Et je voudrais apporter mon témoignage de 2 mu : je suis à l'opposé concernant la santé. Je pense fondamentalement que chaque être humain est responsable de la prise en charge de sa santé (donc visites médicales de contrôle régulières…) et comme je ne supporte pas la douleur, si la nécessité est là tant pour moi que pour un ami, je fais du forcing pour que cela soit pris en charge. Cela me semble coller avec le domaine du 2.

 

Il m'est arrivé de suivre plusieurs années un ami qui devait faire un contrôle important pour ses yeux tous les six mois (s'il ne le faisait pas, il pouvait devenir aveugle). Quand il l'avait appris, il avait dit qu'il risquait d'oublier avec le temps. Une semaine avant le rendez-vous, je lui passais un coup de fil pour m'assurer qu'il avait programmé ce contrôle. J'étais alors sans doute intrusive :wink: mais cet ami m'a remercié avec le temps.

 

J'ai vécu avec un 8 (alpha je pense). Un jour, il était important qu'il fasse une analyse de sang, et comme il ne prenait jamais de rendez-vous au labo, j'ai fait venir le labo à la maison pour que cela soit fait ! Après, j'ai souvent argumenté pour qu'il fasse des contrôles de santé… sans aucun succès et cela me mettait en colère (à l'intérieur de moi) m'interrogeant fortement sur ce refus catégorique. Aujourd'hui, les années passant, il a un bon nombre de problèmes de santé qu'il refuse de prendre en compte, il est pourtant entouré d'amis médecins qui l'alertent régulièrement… Il ne fait rien ! Personne ne peut le contraindre. Je trouve cela très triste, et cela s'apparente pour moi à un suicide à petit feux… Ce "retard" de prise en compte de sa santé, je l'ai observé chez d'autres 8, je pensais que cela correspond à leur compulsion d'éviter la faiblesse : ne pas voir que l'on est ou peut être malade, la peur de la mort aussi.

 

Je m'interroge alors sur mon type 2, pourtant il me semble observer qu'il m'arrive de ne pas reconnaître mes besoins (de moins en moins je travaille un peu quand même :happy: ) mais pas dans le domaine de la santé…

 

Amicalement,

Odile

Odile E2 mu, aile 1, C+ S++ X=

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Fabien Chabreuil

Bonjour à tous,

 

Odile, tu as évoqué le domaine du 2. Il y a aussi sa dichotomie : il est donc tout à fait normal que certains 2 manifestent une attitude contraire à celles de nos proches à Aurore et à moi.

 

"Ce 'retard' de prise en compte de sa santé, je l'ai observé chez d'autres 8."

C'est un comportement et on peut donc l'observer chez beaucoup de types : peur chez le 6, évitement de la souffarnce chez le 7, inertie chez le 9, etc. L'Ennéagramme nous dit qu'in n'y a que chez le 2 qu'il s'agit d'une problématique centrale du fait du domaine et de la dichotomie.

 

Très amicalement,

Fabien

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