Institut Français de

l’ennéagramme

À quoi sert tout le reste...

Aller au contenu

Histoire de gestalt entre un 4 et un 6


Mot de tête

Messages recommandés

Bonjour,

 

C'est l'histoire d'une gestalt entre un 6 et un 4 "mus", assis en forêt au pied d'un grand chêne !

Silencieux et humant la générosité du sol, ils sont là.

Là, présents à eux-mêmes et à ce qu'ils viennent de vivre…

 

Il y a deux ans environ, ils décident de partir rencontrer les enseignements de l'ennéagramme, vieille peuplade, au nord de l'île d'Holos.

 

Oh, l'organisation du voyage est, somme toute, rapide et intuitive.

Une envie de partir et de vivre l'aventure bien plus importante que de s'attarder sur l'itinéraire.

 

Les étapes qu'ils réalisent sont des expériences heureuses et malheureuses, entières, parfois jubilatoires, parfois ennuyeuses, parfois contemplatives.

 

Ils y rencontrent les enseignements et partagent avec eux des temps de réflexion, de méditation.

 

Nos deux compères traversent des moments de paix, des moments de doute, tiraillés parfois entre l'envie de quitter le compagnon de route et celle de continuer l'aventure ensemble.

 

Alors, ils discutent beaucoup, mais au final, ils s'épuisent.

Ils ont besoin l'un, l'autre de silence pour que l'un et l'autre des chemins parcourus s'accordent.

 

Alors, c'est au pied de ce vieux chêne, qu'ils choisissent de revenir à la maison, pour repartir plus tard grandir la boucle de l'expérience.

 

Bise,

Mot de tête

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Fabien Chabreuil

Bonjour Mot de tête,

 

Bienvenue sur ce forum.

 

Ceci dit, ton message m'a laissé assez perplexe. :sarcastic: Pas au point de développer des maux de tête, mais presque. :sarcastic: Il te faudra décrypter si tu souhaites que ton message soit utile et si tu désires une autre réponse de ma part…

 

Très amicalement,

Fabien

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour,

 

Je comprends qu'il puisse être compliqué de décoder ce style métaphorique d'autant qu'il n'est pas renforcé d'éléments de compréhension tangibles.

 

Pour les maux de tête… ils devraient être passagers car je vais tenter de vous éclairer…

 

Une histoire de gestalt entre un 6 et un 4 mu représente les deux ennéatypes qui m'animent en terme d'énergie et de comportement.

 

Passée d'abord par l'identification du 4 durant deux ans puis celle du 6, je reviens depuis quelque temps sur la dimension du 4.

 

Ce qui me fait dire cela ? Rien de plus ou de moins que ce qui me décrirait en tant que 6.

Quand j'observe ou quand je suis attentive aux retours d'amis du monde de l'ennéagramme, il y a autant d'éléments m'identifiant en 4 et en 6.

 

Ce sont ces trois vagues et ce retour "éventuel" à mes premières amours qui m'ont donné l'idée de cette gestalt.

 

Une boucle d'expérience vue de la fenêtre du 6, une boucle d'expérience vue de la fenêtre du 4 ,et ainsi de suite.

Toutes ces boucles grandissant et s'enrichissant les unes aux autres pour en faire une totale l'île d'Holos.

 

Maux de tête ????!!!!!

 

Alors quand il n'y a plus d'aspérités sur lesquelles s'accrocher pour grimper vers la connaissance de son ennéatype, je vais m'asseir au pied du grand chêne…

Ce que j'ai fait en vous l'écrivant (créativité mentale), ce que j'ai fait ce week-end en forêt (instinctif) et ce que j'ai exprimé émotionnellement.

 

Posée au pied de ce vieux chêne… pour revenir à la maison = mon intériorité ou prise de distance avec l'enseignement pour repartir plus tard grandir la boucle del'expérience = grandir cette gestalt comme la somme de toutes ces fenêtres ennéatypes.

 

Je vais oser dire sur ce forum (et c'est peu de le dire !!!!) car en plus je vais l'écrire !!!!!!

Que je sois 6 ou 4, je m'en fous.

L'expérience me rattrapera bien.

Vraisemblablement j'en retirerai l'essentiel = somme des parties de soi.

 

Au passage, ça ressemblerait bien à du lâcher prise.

 

Allez bise d'un mot de tête féminin (pour celles et ceux qui ne me connaissent pas).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Fabien Chabreuil

Bonjour Mot de tête (je crois que je vais avoir du mal à m'y faire !),

 

"Ce qui me fait dire cela ? Rien de plus ou de moins que ce qui me décrirait en tant que 6."

Probablement une de ces crises de doutes typiques de l'ennéatype 6. En tout cas, ni Patricia, ni moi n'avont, en une douzaine de jours de stages, eu le moindre doute sur ton ennatype 6 ; bien au contraire, il nous a paru pour le moins, comment dire… typique ! :happy: Ceci dit, ce n'est qu'une perception extérieure qui ne peut pas être infaillible.

 

"Que je sois 6 ou 4, je m'en fous. […] Au passage, ça ressemblerait bien à du lâcher prise."

Ah non, ce n'est pas du lâcher prise. Le lâcher prise, ô combien nécessaire, est oeuvre du centre instinctif ; le vrai lâcher prise a donc lieu en fin d'évolution personnelle dans l'étape de métanoia (cf. processus d'évolution que nous voyons dans le stage Essence et qui est résumé dans cet article). Auparavant, il serait prématuré. Le vrai lâcher prise n'est pas non plus, et de loni, "s'en foutre". Mais tu as raison sur le fait que "l'expérience te rattrapera".

 

Très amicalement,

Fabien

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...