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l’ennéagramme

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Différents niveaux d'orgueil ?


Chabadabada

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Bonjour,

 

Je me pose une question suite à l'observation suivante.

 

Quand je suis "sûre et certaine" de savoir quelque chose, je suis incapable de le réaliser, c'est-à-dire de passer à l'action. Quand par contre je ne suis pas certaine, mais que j'ai des éléments qui me semblent pouvoir permettre de valider ce quelque chose, je vais continuer à me renseigner, très probablement tenter d'obtenir la validation d'un connaisseur, et souvent dans ce cas, je vais pouvoir soit m'approprier l'information, soit passer à l'action selon ce qu'est ce quelque chose (une information ou une solution pour réaliser quelque chose).

 

Par exemple :

  • Après réflexion, je ne peux pas donner d'exemple du premier cas, ce qui est loin d'être un hasard, car les seuls exemples qui me sont venus à l'idée, je ne les assume pas assez pour les partager. J'en ai honte d'une certaine façon.
  • Pour le second cas, je pense, par exemple, que j'ai une aile 1. Je pense que certains éléments sont assez probants pour que ce soit le cas (évidemment, là au moment d'écrire, je ne les trouve plus…). Dans ce cas précis, tant que je n'aurais pas la confirmation de quelqu'un qui connaît bien le modèle ou une liste concrète des éléments qui pourraient me permettre de le confirmer seule, je ne pourrais pas m'approprier l'information, bien que d'une certaine façon je l'ai probablement déjà.

Donc ma question est : est-ce que je peux considérer qu'il y a bien là deux niveaux d'expression de mon niveau d'intégration ? C'est-à-dire qu'il me semble que dans le premier cas, l'ego est tellement fort, je suis tellement "sûre" (= orgueilleuse), que même si cette certitude pouvait avoir du sens, je ne peux rien en faire tant que j'y reste "accrochée" ? Relativiser cette certitude et s'en décrocher me semble être un début de solution. Et dans le deuxième cas, j'imagine donc que j'ai une approche plus humble, qui m'autorise donc l'erreur d'une part, et autorise l'intervention d'autrui, de quelque nature que ce soit (validante, invalidante ou échange sur le sujet). Mais l'orgueil est toujours bien là puisque je ne demanderai de l'aide et des conseils qu'à une personne qui me semble au moins un peu connaître le sujet. Et pour cela j'ai généralement toute une batterie de justifications en réserve et elles me paraissent toujours irréfutables : sur l'exemple de l'aile 1, puisque j'aimerais bien valider cette information, je vais donc demander à Fabien ou Patricia, aux personnes présentes sur ce forum. Aux personnes qui se sentent donc concernées par l'Ennéagramme ou en sont connaisseuses. Mais bon, c'est logique : j'ai bien essayé d'intéresser mon entourage au sujet, mais pour l'instant c'est pas gagné !

 

Dernière question : pourquoi ne suis-je pas capable de valider cette information seule et de me l'approprier ? C'est agaçant…

 

Amicalement.

Chabadabada (2 mu, aile 1?, conservation)

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Fabien Chabreuil

Bonjour Chabadabada,

 

Tout d'abord, bienvenue sur ce forum. J'espère que ce premier message sera suivi de beaucoup d'autres.

 

Tu es 2 mu, avec donc une hiérarchie des centres émotionnel-mental-instinctif. Il me semble qu'une fois de plus, la hiérarchie des centres est la clé permettant d'analyser le phénomène que tu décris et qui est une observation très intéressante.

 

Dans le premier cas, tu as une certitude mentale, mais ton émotionnel n'a pas été activé. En règle générale, pour que le centre réprimé fonctionne, il faut que le centre préféré et le centre de support soient d'accord. Ici, il manque l'aval du centre préféré et donc agir devient difficile.

 

Dans le second cas, ton mental est dans le doute. Tu cherches donc à obtenir "la validation d'un connaisseur" : recherche de contact avec une personne dotée d'un statut, c'est très 2 ! Cette validation satisfait ton émotionnel, apaise le doute du mental, et la voie est donc libre pour un passage à l'action.

 

Qu'en penses-tu ?

 

Très amicalement,

Fabien

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Bonjour Fabien,

 

Merci de ton accueil. :beurk:

 

Sur le second cas, ça me paraît logique. Mais concernant le premier, ceci m'interpelle dans ta réponse : "Ton émotionnel n'a pas été activé."

Est-ce que ça signifie que je n'ai pas "vécu" les émotions permettant au centre émotionnel de "valider" ? Je crois que je suis en train de toucher à la notion de répression. Mince, je croyais l'avoir comprise, mais en réalité je tourne autour…

 

Voici un exemple pour lequel je suis probablement "trop sûre" de moi et où il y a d'après moi dédain et orgueil, mais je ne vois pas où est la répression. Il m'est facile de le décrire, alors à mon avis, c'est une entourloupe qui ne touche pas vraiment à la question centrale.

 

Au boulot, je suis convaincue que mes supérieurs sont mous et incapables de prendre des décisions. Ça fait des mois que je leur propose une stratégie pour faire avancer notre sujet. Réponse de leur part : "La direction n'est pas prête." Eh bien, avec ça on ne risque pas d'avancer. D'ailleurs ça fait des années que je le leur propose. J'ai patienté en travaillant avec les différentes équipes, on a pu faire des choses, mais convaincre réellement la direction qui, à ce jour, est d'accord sur le principe, mais ne met rien en œuvre pour "appliquer" me semble "capital". À mes yeux, la direction a un comportement hypocrite malgré des intentions qui me semblent honnêtes (l'approche de la Spirale Dynamique me permet de voir les choses autrement à ce jour). Il y a quelques mois, j'ai donc eu un comportement assez peu adapté à mon sens en "bousculant" un peu un membre de l'équipe dirigeante, devant des collègues de surcroît. Coup de bol, il a pris ça pour le "pendant" de mon enthousiasme habituel. Mes collègues ont trouvé ça très bien, mon chef direct n'a pas apprécié, et moi au fond, j'ai pensé ensuite que ma gêne a posteriori associée à de la fierté révélait un problème chez moi.

 

En écrivant cet exemple j'ai cherché où était la répression. J'allais creuser le moment où je fais la "remarque" mais je crois que je viens de trouver mon erreur de perspective : est-il possible que je sois constamment en répression ?

 

Je crois que je mets le doigt sur une croyance qui m'a fait mal comprendre certaines choses : je crois profondément à ce qui est "durable". Est-ce que derrière cette croyance, il n'y a pas un refus de l'instantanéité propre à l'émotionnel ? Donc, du coup, un maintien artificiel d'émotions associées à certaines idées ?

Ou je vais trop loin là ?

 

Bonne soirée !

Chabadabada (2 mu, aile 1?, conservation)

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Fabien Chabreuil

Bonjour Chabadabada,

 

L'exemple que tu donnes me semble être une parfaite illustration de ce que je proposais. Ton émotionnel (extérieur) ne reçoit aucune gratification dans le processus.

 

Il y a peut-être de la répression, par exemple des émotions très négatives vis-à-vis de la direction qui ne tient pas compte de ta proposition dont tu es pourtant persuadée qu'elle est valide. Cependant, la clé de compréhension me semble être la hiérarchie des centres, et non la mise en œuvre du mécanisme de défense.

 

"Je crois que je mets le doigt sur une croyance qui m'a fait mal comprendre certaines choses : je crois profondément à ce qui est "durable". Est-ce que derrière cette croyance, il n'y a pas un refus de l'instantanéité propre à l'émotionnel ? Donc, du coup, un maintien artificiel d'émotions associées à certaines idées ?"

Cela me semble deux plans différents qui peuvent coexister, mais je n'en suis pas certain. Il faudrait que tu sois plus précise que cette pharse exagérément abstraite : quelles émotions ? Quelles idées ?

 

Très amicalement,

Fabien

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Je pensais aux émotions positives associées aux idées auxquelles je crois. J'ai la sensation que c'est à la fois une sorte de sécurité à laquelle je m'accroche quand je me décourage (ça peut être une fois par mois ou dix fois par jour, là doit être la variabilité de l'émotionnel je suppose) et simplement mes convictions le reste du temps.

Mais ça peut aussi être dû à une identification à une mamie 6.

Je vais donc procéder aux désidentifications nécessaires !

 

Bien amicalement.

Chabadabada (2 mu, aile 1?, conservation)

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Fabien Chabreuil

Bonjour Chabadabada,

 

"Je pensais aux émotions positives associées aux idées auxquelles je crois."

Cela, c'est peut-être agréable et sécurisant, mais c'est de l'émotionnel intérieur, bien insuffisant pour un 2 ! Et donc, voir messages précédents.

 

"Je vais donc procéder aux désidentifications nécessaires !"

Cela ne peut jamais faire de mal. :tongue:

 

Très amicalement,

Fabien

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  • 2 months later...

Bonjour Fabien,

 

Je ne sais pas si je m'y prends bien, je poursuis en commençant par reformuler.

 

Si j'ai bien compris, dans certains cas mon "émotionnel n'est pas activé". Dans ces cas-là, je suis en mode "lutte". Je ne sais pas vraiment contre quoi d'ailleurs. Dans ce cas, j'ai la sensation de chercher à faire adhérer la ou les personnes à quelque chose qui me semble bien pour tout le monde. Bien entendu, cela ne marche pas…

 

Du coup, si je reformule cela, ça pourrait vouloir dire que soit je cherche à "forcer" la reconnaissance de ce que j'apporte, soit je cherche à "forcer" l'adhésion à ce qui me semble être la meilleure solution, la bonne chose à faire. Je ne sais pas si cette sensation que j'ai parfois de "forcer" est également perçue comme telle à l'extérieur, par les personnes concernées. Et est-ce que je force les autres et/ou moi-même ? Cela n'est pas clair…

 

Par exemple dans le cadre du travail, on ne m'a jamais dit cela. Mes responsables, en règle générale et de ce que j'en sais, me perçoivent enthousiaste, motivée, mais "difficile à manager car je suis très demandeuse d'explications, de vision globale et je discute les décisions", c'est-à-dire que pour que je suive ce qu'on me demande il faut que j'en ai compris l'intérêt et que j'y ai adhéré, sinon je continue à poser des questions et à me faire l'avocat du diable.

 

Si ce que je propose n'est pas repris (sauf si j'ai compris pourquoi et que l'explication me semble justifiée et que la personne propose autre chose à la place — et pas rien du tout), je commence à me sentir inutile, à m'ennuyer, et à m'agacer contre les personnes concernées. La plupart du temps, je leur fait part de mon opinion correctement, et je "peste" contre eux auprès d'autres personnes par ailleurs. Ma motivation à participer et à contribuer diminue. Et de temps en temps, je n'arrive plus à cacher mon agacement et entre dans un rôle plus "réactif", ce qui donne des épisodes comme celui décrit plus haut.

 

Gratification : je crois que mon émotionnel extérieur est satisfait quand la personne apprécie ma présence c'est-à-dire exprime soit son contentement de ma présence (plutôt en amitié ou en famille) ou que ma participation sert à quelque chose (par exemple au travail). En gros je crois que j'ai besoin qu'on me dise "c'est OK que tu sois là" (ou qu'on me le montre d'une autre façon qu'en le "disant"). Et qu'on me le rappelle régulièrement. Je trouve désagréable et contraignant d'avoir besoin de ça. De plus, si je ne me sens pas tirée vers le haut (c'est-à-dire qu'il faut qu'il y ait un peu de défi, que j'ai beaucoup à apprendre de la ou les personnes), la "gratification" ne suffira pas, il me semble.

 

Statut : la notion de statut n'est pas claire pour moi car je ne sais pas ce qui fait que j'attribue du statut* ou pas à une personne ou à un groupe. A priori c'est la sensation que la ou les personnes possèdent une expertise, que j'admire. Ou qu'on s'intéresse à la même chose. Que l'on partage des centres d'intérêt, des valeurs communes et qu'il puisse y avoir échange (plutôt dans les relations non professionnelles).

 

Dans le cadre des relations professionnelles pour rester sur cet exemple, j'en conclus que l'émotionnel extérieur est activé quand à la fois j'estime être "tirée vers le haut" et qu'il y a la sensation que ce que je fais "sert" à quelque chose. Quand je commence à me sentir "inutile" et à avoir la sensation que mes responsables ne m'apportent rien (je me rends bien compte que c'est prétentieux de dire ça, mais c'est la sensation que j'ai), alors j'utilise l'émotionnel intérieur pour "tenir le coup". Je pourrais bien partir dans un cas pareil, mais je me dis que ça sera la même chose ailleurs, et justement, qu'il est très prétentieux de se croire meilleure que des responsables forcément plus aguerris que moi et qui ont donc des choses à m'apprendre (je rationalise, justifie). C'est alors qu'il ne me reste que l'émotionnel intérieur pour me "rassurer" et me dire que ce que je fais "sert" quand même à quelque chose.

 

Je n'ai pas fait le stage "Centres". Peut-on dire que c'est la conjonction des choix de l'émotionnel intérieur (en l'occurrence le thème sur lequel je travaille dans l'entreprise) associée à l'activation de l'émotionnel extérieur qui correspond à l'équilibre intérieur/extérieur du centre émotionnel ? Ou cela n'a rien à voir ?

Si c'est bien cela, ça voudrait dire qu'il faut donc qu'il y ait cet équilibre et ensuite en renforçant l'émotionnel intérieur par les exercices d'Éveil, il y a moins besoin d'être sécurisé par l'extérieur, c'est-à-dire la recherche de statut et de gratification ?

Et comment se fait-il que je me réfugie sur de l'émotionnel intérieur par sécurité alors que le 2 préfère l'émotionnel extérieur ?

 

Il y a aussi une autre possibilité avec les sous-types : je pense que qu'il y a des "-" partout, et peut-être aussi des "+" partout. À étudier…

 

Et il y a encore autre chose qui m'intrigue : je ne me retrouve pas dans l'orientation 2. Autant les autres mécanismes égotiques me "parlent", autant l'orientation d'amour et d'aide me semble loin de moi et me met mal à l'aise car je ne me sens pas spécialement aidante ni aimante avec les autres. Et je me sens mieux quand je les "remue" que quand je les aide. Du moins je n'ai pas la sensation d'aider quand je bouscule les autres ou les mets face à leurs incohérences ; j'ai parfois cependant l'impression de me mêler de ce qui ne me regarde pas, d'être dans l'ingérence et je me dis que je ferais mieux de m'occuper de mes propres incohérences.

 

J'ai l'impression d'être dans de l'anti-ego. Est-ce la même chose que la contrepassion ? (En l'occurrence je dirais plutôt la "contre-orientation" !)

 

Dernière remarque : les premières semaines où je faisais des exercices du stage Éveil, j'avais la sensation que "tout était à l'envers". C'était juste une sensation que je ne peux décrire, sauf par un seul exemple qui m'a marqué : j'ai dû pendant ces semaines me "forcer" à reprendre systématiquement la phrase "je suis la créatrice et l'observatrice de cette transe", car je disais automatiquement "je suis l'observatrice et la créatrice…".

Est-ce que cette sensation pourrait être expliquée par les sous-types en "-" ?

 

Je te remercie d'avance Fabien si tu peux m'éclairer un peu sur ces observations et questions ! Désolée pour la longueur, j'ai du mal à sélectionner ce qui est intéressant à observer ou pas…

 

* Je note une bizarrerie dans la façon de le dire. Tu dis plus haut : "recherche de contact avec une personne dotée d'un statut, c'est très 2", mais j'écris "à qui j'ai conféré un statut". Il y a cette idée que "c'est MOI qui décide"…

Chabadabada (2 mu, aile 1?, conservation)

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Fabien Chabreuil

Bonjour Chabadabada,

 

C'est un peu vache de me répondre plus de deux mois après et de me faire rélire toute la conversation pour me remettre à niveau !

 

"Je n'ai pas fait le stage Centres."

C'est peut-être un préalable pour analyser sérieusement le fonctionnement des centres.

 

"Peut-on dire que c'est la conjonction des choix de l'émotionnel intérieur (en l'occurrence le thème sur lequel je travaille dans l'entreprise) associée à l'activation de l'émotionnel extérieur qui correspond à l'équilibre intérieur/extérieur du centre émotionnel ? Ou cela n'a rien à voir ?"

L'équilibre intérieur/extérieur est effectivement associée à la conjonction de ces deux phénomènes. À condition toutefois que l'ensemble soit intégré. Or dans le cas du 2 mu, il y a plus de risque de désintégration en 4 que d'intégration. L'Ennéagramme te dit (par ma bouche :proud:) que le chemin d'intégration pour toi passe plutôt par la vertu ey l'idée supérieure du 8.

 

"Et comment se fait-il que je me réfugie sur de l'émotionnel intérieur par sécurité alors que le 2 préfère l'émotionnel extérieur ?"

Comme dit plus haut, cela s'appelle sans doute une désintégration en 4 ou une contrepassion (cf. plus bas).

 

"Et il y a encore autre chose qui m'intrigue : je ne me retrouve pas dans l'orientation 2. […] J'ai l'impression d'être dans de l'anti-ego. Est-ce la même chose que la contrepassion ? (En l'occurrence je dirais plutôt la "contre-orientation" !)"

Oui, c'est la même chose. Une des caractéristiques de la contrepassion est la disparition de l'orientation.

 

"J'avais la sensation que "tout était à l'envers". C'était juste une sensation que je ne peux décrire. […] Est-ce que cette sensation pourrait être expliquée par les sous-types en "-"  ?"

Comme tu ne peux pas décrire cette sensation, je ne peux pas savoir ce que c'est et je peux donc pas répondre à ta question.

 

Très amicalement,

Fabien

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Bonjour Fabien,

 

"C'est un peu vache de me répondre plus de deux mois après et de me faire rélire toute la conversation pour me remettre à niveau !"

Oui c'est vrai c'est vache, je n'avais pas réalisé. Je te remercie d'avoir pris le temps de la relire pour me répondre.

 

"C'est peut-être un préalable pour analyser sérieusement le fonctionnement des centres."

En effet. Me voilà inscrite :happy:

Difficile de mettre des priorités vu que toutes les descriptions des stages sur ce site donnent envie d'y participer!

 

"À condition toutefois que l'ensemble soit intégré. Or dans le cas du 2 mu, il y a plus de risque de désintégration en 4 que d'intégration."

Je n'en doute pas, et c'est bien ce qui m'inquiète car je suis incapable de déterminer quand c'est le cas. :beurk:

 

" L'Ennéagramme te dit (par ma bouche :proud:) que le chemin d'intégration pour toi passe plutôt par la vertu et l'idée supérieure du 8."

Merci à toi et à ta bouche ! La simplicité et moi, ça ne colle pas très fort mais l'espoir fait vivre !

 

"Comme tu ne peux pas décrire cette sensation, je ne peux pas savoir ce que c'est et je peux donc pas répondre à ta question".

Ben oui, je comprends bien. Si je trouve des exemples, j'ouvrirai une nouvelle discussion.

 

Merci pour tes réponses,

Bien amicalement.

Chabadabada (2 mu, aile 1?, conservation)

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